L'impact futur des robots sur le monde du travail

La digitalisation possède désormais une place majeure au cœur du monde du travail. À travers l’ère du numérique, le monde du travail a subit de nombreux changements tels que la modification de métiers par le remplacement de certaines tâches par des machines, l’amélioration de certains et la suppression d’autres. C’est pourquoi, les attentes et compétences requises par les recruteurs telles que l’augmentation de l’autonomie ou la flexibilité offerte par les salariés dans leurs emplois, sont bien plus importantes de nos jours.

la hausse des métiers digitaux avec la robotisation

En 2017, une étude a relevé que 85% des métiers de 2030 n’existaient pas encore. La conclusion de la réunion de ces 20 experts est expliquée par la forte implantation de la digitalisation et de la robotisation dans le monde professionnel qui, depuis plus d’une décennie, ne cesse de grimper. Ces apparitions, vont alors causer, la disparition de certains métiers, remplacés par d’autres, aidés à travers certaines tâches par la numérisation. 

Les changements causés par la robotisation dans le monde du travail « D’ici à 2025, les robots enverront chez eux trois millions de salariés en France et feront ainsi grimper le taux de chômage à 18%. » indique Roland Berger en 2014, à travers son étude qui relève une automatisation des tâches déjà à auteur de 20%. Roland Berger affirme que de nombreux secteurs seraient touchés par la robotisation. Parmi eux, l’hôtellerie, l’administration, ou encore l’agriculture. Cependant certains secteurs devraient normalement être épargnés comme par exemple la santé. Pourtant, l’Institut Montaigne a révélé dans une étude que l’intelligente artificielle commençais peu à peu à s’immiscer dans les emplois touchant la santé comme par exemple les infirmiers. Des robots infirmiers ont déjà été créés et sont en périodes d’essais au près des personnes âgées afin de leur établir un diagnostique. Par exemple, dans un article de L’Express nous pouvons voir une photo d’un nouveau robot infirmier, Carl, qui s’occupe d’élaborer un diagnostique de l’état de santé d’une personne âgée dans un centre de rééducation.

De plus, selon Roland Berger, la robotisation serait en mesure de fabriquer à travers les nouvelles technologies, l’écologie et la relation client, environ 500 000 emplois. En 2018, une étude réalisée par le forum économique mondial, a révélé que d’ici 2025, 52% des tâches professionnelles seront réalisées par les robots.  Cependant elle a également révélé que « la révolution robotique créera 58 millions de nouveaux emplois nets au cours des cinq prochaines années ». La fondation affirme que « D’ici 2025, plus de la moitié de toutes les tâches actuelles réalisées sur le lieu de travail seront effectuées par des machines, contre 29% aujourd’hui » soit en 2018.  

À travers cette étude, il a été révélé que évidemment il y aurait un rapport d’inégalité et que certains secteurs seraient plus touchés que d’autres. En effet, à travers les métiers tels que la comptabilité, les usines d’assemblage, les services postaux ou encore le secrétariat, 75 millions d’emplois, d’ici 2022 seraient sur le point de disparaître. Malgré cette disparition rapide de nombreux jobs, les scientifiques annoncé une approximation. Cette dernière révèlerait que 133 millions d’emplois pourraient être instaurés pour pallier à ses nombreuses disparitions. Ces nouveaux emplois seraient basés principalement sur l’évolution numérique ou seraient liés à cette robotisation. Les domaines où ils seraient encrés seraient le traitement de donnés, le marketing ou encore l’intelligence artificielle. C’est d’ailleurs pourquoi les développeurs et spécialistes de nouvelles technologies sont depuis plusieurs années, de plus en plus recherchés.

la hausse générale des métiers digitaux avec la robotisation

Roland Berger indique que la robotisation jouerait sur une modification des compétences requises   » La révolution technologique, c’est aussi une révolution des compétences » , Marie-Claire Carrière-Gée.  En 2017, une analyse fût réalisée entre David Autor, Frank Levy et Richard Murnane. Cette dernière a révélé que les technologies, de plus en plus imposantes dans le monde du travail ne peuvent pas automatiser des métiers entièrement mais seulement certaines tâches.

Par exemple, si un salarié a pour travail de trier des noms dans les fichiers, une machine pourra le remplacer pour cette tâche et le salarié devra tout simplement en réaliser une autre, autrement dit ce dernier devra posséder des compétences flexibles d’une tâche à l’autre.

C’est pourquoi, les nouvelles technologies créent de nouvelles compétences basées sur la création de nouvelles tâches, notamment à travers le secteur du numérique. Aujourd’hui le fait que certaines personnes n’arrivent pas à s’adapter à l’évolution de leurs postes est problématique car ils ne peuvent pas avancer dans leur travail et risquent d’être remplacés par de nouveaux employés, plus jeunes, plus qualifiés notamment sur les nouveaux outils technologiques par exemple.

Le directeur du département d’études et de recherches de l’Apec, Pierre Lamblin, a affirmé que les cadres également sont touchés directement par ses mutations. Par exemple, un responsable recrutement en 2000 possédait cinq compétences importantes dans son métier. Désormais, ce dernier en comporte neuf.

Les anciennes compétences comme par exemple les connaissances sur l’entreprise, n’étant maintenant plus assez performantes vont se voir être complétées par de nouvelles compétences telles que la réglementation avec la prise en compte de la non-discrimination et les données personnelles, les médias sociaux ou encore la pratique des outils informatiques. C’est pourquoi, il a été remarqué que désormais, les compétences les plus recherchées seraient aujourd’hui des compétences sociales, techniques, interactives et analytiques.

l'impact futur des robots sur le monde du travail compétences requises pauline deroo étudiante marketing digital

Le Conseil d’orientation pour l’emploi, à travers une étude, a révélé que en ce qui concernait les compétences analytiques et interactives, ces dernières seraient les plus retrouvées à travers les mutations de métiers. Les compétences analytiques porteraient selon eux, sur une réalisation de tâches comme par exemple l’évaluation. Et Les compétences interactives axées principalement sur la répartition du travail soit directement sur la coordination ou encore la vente. Certains métiers, devront réaliser de nouvelles tâches impensables auparavant. Par exemple, citation désormais d’un exemple donné par l’étude de Berger et Frey en 2016 :  « Un spécialiste des relations publiques qui doit désormais publier et mettre à jour les contenus sur le site de l’entreprise et les réseaux sociaux » En effet, les compétences seront mélangées avec de nouvelles compétences, elles plus tournées vers le côté social comme par exemple la gestion des ressources humaines ou la réflexion critique. Il faudra également ajouter des compétences techniques nécessaires pour l’évolution de la numérisation comme la programmation de systèmes.

Toutes ses compétences seront basées sur l’évolution technologique de l’ensemble des entreprises mais également sur les changements d’exigence des clients, consommateurs, ou encore sur l’internationalisation grimpante des chaînes de valeurs soit la maitrise principale de l’anglais.  La robotisation a certes permis de créer 97 millions d’emplois dans le monde. Cependant, cette dernière continue d’en détruire environ 85 millions. C’est pourquoi de nouvelles compétences telles que la relation client vont être plus approfondies, plus demandées.

Dans le monde de demain, nous vivrons et travaillerons constamment avec des robots qui deviendront peut être même nos collègues de travail. n mesure de fabriquer à travers les nouvelles technologies, l’écologie et la relation client, environ 500 000 emplois. En 2018, une étude réalisée par le forum économique mondial, a révélé que d’ici 2025, 52% des tâches professionnelles seront réalisées par les robots.  Cependant elle a également révélé que « la révolution robotique créera 58 millions de nouveaux emplois nets au cours des cinq prochaines années ». La fondation affirme que « D’ici 2025, plus de la moitié de toutes les tâches actuelles réalisées sur le lieu de travail seront effectuées par des machines, contre 29% aujourd’hui » soit en 2018.  

À travers cette étude, il a été révélé que évidemment il y aurait un rapport d’inégalité et que certains secteurs seraient plus touchés que d’autres. En effet, à travers les métiers tels que la comptabilité, les usines d’assemblage, les services postaux ou encore le secrétariat, 75 millions d’emplois, d’ici 2022 seraient sur le point de disparaître. Malgré cette disparition rapide de nombreux jobs, les scientifiques annoncé une approximation. Cette dernière révèlerait que 133 millions d’emplois pourraient être instaurés pour pallier à ses nombreuses disparitions. Ces nouveaux emplois seraient basés principalement sur l’évolution numérique ou seraient liés à cette robotisation. Les domaines où ils seraient encrés seraient le traitement de donnés, le marketing ou encore l’intelligence artificielle. C’est d’ailleurs pourquoi les développeurs et spécialistes de nouvelles technologies sont depuis plusieurs années, de plus en plus recherchés.

Cependant, il est important de noter que l’intégration de robots dans le monde du travail peut également entraîner des préoccupations quant à la perte d’emplois pour les travailleurs humains. Par conséquent, il est crucial d’encourager la formation et la ré-orientation des travailleurs vers des domaines liés aux technologies de l’information, afin de préparer la main-d’œuvre à l’avenir.

En conclusion, l’intégration croissante de robots dans le monde du travail est un développement important qui apportera de nombreux avantages à la société, mais il est important de prendre en compte les conséquences économiques et sociales potentielles et de mettre en place des stratégies pour les atténuer. Les employeurs, les gouvernements et les travailleurs doivent travailler ensemble pour s’assurer que cette transition se fasse de manière équitable et bénéfique pour toutes les parties concernées.